Le papa pingouin, le papa pingouin…
S’ennuie sur sa banquise…
Alors que Mogokuk s’apprête à harponner un phoque, il est tiré de ses réflexions par un appel au secours.
Immédiatement il pense à l’homme roux, le brigand qui terrorise la tribu des Esquimaux. Mais il s’agit tout simplement d’un voyageur solitaire qui épuisé gît dans la neige.
Après lui avoir prodigué quelques premiers soins, il ramène l’inanimé au camp et bientôt à l’aide de massages appropriés dans une atmosphère surchauffée dans l’un des igloos, l’homme sort de l’engourdissement dans lequel il était plongé.
Il se nomme Charles Vicaire et désirait se rendre à une station météorologique située encore plus au nord. Les jours passent, le temps qu’il se remette de ses émotions. Et comme il parle à peu près leur langage, ayant débarqué depuis des mois au Groenland, et s’étant familiarisé avec les us et coutumes des autochtones, Charles s’entend fort bien avec les Inuits.
Un couple d’ours est aperçu sur les bords du rivage et il accompagne les chasseurs dans leur quête. Malgré les chiens les deux ursidés se rebiffent et il sauve la vie à Mogokuk et à Kalibok grâce à son fusil dont il use avec précision. Les chasseurs reviennent contents jusqu’au village, leur provision de viande fraîche leur assurant la nourriture pour plusieurs jours. Seulement en vue du village, ils aperçoivent des fumées.
L’homme roux qui entretient la terreur dans la région vient encore de faire des siennes, en abattant de nombreux villageois et en enlevant la fille de Mogokuk.
Aussitôt quelques hommes se lancent sur les traces de la kidnappée et de son ravisseur, Charles Vicaire en tête.
Sous le pseudonyme de Maurice de Moulins se cache Albert Bonneau, créateur de la série de western Catamount, et grand fournisseur de petits fascicules dans tous les domaines mais surtout dans les romans d’aventures.
Des histoires simples, mais enlevées, propices à exciter l’imaginaire des lecteurs et que les jeunes peuvent lire sans aucune appréhension ou censure.
Cela fait du bien parfois de se retrouver dans l’univers des romanciers qui écrivaient pour le plaisir de leurs lecteurs, sans leur prendre la tête par des considérations philosophiques hors de propos, sans violence gratuite, même si certaines scènes décrivent notamment le combat contre les ours et que des gouttes de sang s’éparpillent dans la nature, et surtout sans vulgarité dans les dialogues.
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