Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Bienvenue dans la petite revue de la littérature populaire d'avant-hier et d'hier. Chroniques de livres, portraits et entretiens, descriptions de personnages et de collections, de quoi ravir tout amateur curieux de cette forme littéraire parfois délaissée, à tort. Ce tableau a été réalisé par mon ami Roland Sadaune, artiste peintre, romancier, nouvelliste et cinéphile averti. Un grand merci à lui !

Martial CAROFF : Karl.

Martial CAROFF : Karl.

Du fond de nos villes mi-urbaines, mi-rurales, nous suivons les épisodes souvent dramatiques des banlieues dites en difficulté, d’après les reportages médiatiques télévisés. Les petits dealers, les casseurs, les brûleurs de voiture qui sont montrés de...

Lire la suite

Martial CAROFF : Les nuées sanglantes.

Martial CAROFF : Les nuées sanglantes.

En 423 avant J.C., Athènes et Sparte se déchirent dans un conflit plus connu sous le nom de guerre du Péloponnèse. Depuis le décès de Périclès, la cité d’Athéna se partage entre ceux qui désirent à tout prix continuer les combats et ceux qui désirent...

Lire la suite

Jean-Paul DUBOIS : Compte-rendu analytique d’un sentiment désordonné.

Jean-Paul DUBOIS : Compte-rendu analytique d’un sentiment désordonné.

Le prix Alexandre Vialatte a été attribué à Jean-Paul Dubois pour son roman : Le cas Sneijder paru aux Editions de l’Olivier. Une reconnaissance qui m’a incité à lire son premier roman paru en 1984 dans la collection Spécial Police du Fleuve Noir. Il...

Lire la suite

Olivier GAY : Les talons hauts rapprochent les filles du ciel.

Olivier GAY : Les talons hauts rapprochent les filles du ciel.

Malgré ce que peuvent nous faire croire les médias et surtout les déclarations des services du ministère de l’Intérieur, les petits voyous et les dealers de drogues ne résident pas tous en banlieues dite difficiles, le troc s’effectuant dans les sous-sols...

Lire la suite

Odile BOUHIER : De mal à personne.

Odile BOUHIER : De mal à personne.

En ce début du mois de septembre 1920, à Lyon, alors que le commissaire Kolvair se prélasse dans la maison de ses parents à Villedieu, rêvant de Bianca la belle aliéniste, il est dérangé par un appel téléphonique émanant de son adjoint Durieux. Le cadavre...

Lire la suite

Odile BOUHIER : Le sang des bistanclaques.

Odile BOUHIER : Le sang des bistanclaques.

Le titre à lui seul est énigmatique. La solution nous est révélée dans le prologue. Il s’agit du surnom donné par les canuts à une machine à tisser au XIXème siècle, à cause des sons, bis – tan – clac, émis par la machine lors des trois étapes consistant...

Lire la suite

Magali DROUET & Sandrine LECLERC : On nous appelle les « Karachi ».

Magali DROUET & Sandrine LECLERC : On nous appelle les « Karachi ».

Si dans les années 1960-1970, l’âge d’or du roman d’espionnage, un auteur œuvrant dans ce domaine de la littérature populaire avait osé imaginer et écrire une telle histoire, nul doute que les lecteurs se seraient extasiés devant une telle trouvaille,...

Lire la suite

Serge JANOUIN-BENANTI : Si ce sont des hommes… Médecins de la mort au Struthof.

Serge JANOUIN-BENANTI : Si ce sont des hommes… Médecins de la mort au Struthof.

- Ce n’est pas risqué de tester un vaccin encore expérimental sur des êtres humains, même si ce sont des détenus ? - Ce ne sont pas des détenus, seulement des Polonais. Et les Polonais ne sont pas des êtres humains, coupa le Dr Gräfe. En ce mois d’avril...

Lire la suite

Béatrice NICODEME : Wiggins chez les Johnnies.

Béatrice NICODEME : Wiggins chez les Johnnies.

Nous retrouvons notre jeune ami Wiggins, aide occasionnel de Sherlock Holmes. Lorsqu’il ne vend pas les journaux à la criée, il s’occupe à droite ou à gauche, afin de subsister. Depuis que Sherlock Holmes a fait embaucher sa mère comme aide-cuisinière...

Lire la suite

Béatrice Nicodème : Wiggins et la ligne chocolat.

Béatrice Nicodème : Wiggins et la ligne chocolat.

Petit avertissement à l’attention des parents qui surveillent les lectures de leur progéniture et qui seraient interloqués par le titre. Aucune corrélation avec un trait de poudre de cacao sur une table ou un comptoir, à déguster avec une paille puisée...

Lire la suite